En juillet dernier, des inconnus ont forcé de nuit les grillages de la paisible volière du Parc Mon-Repos, aux portes du Tribunal fédéral. Les oiseaux ainsi «libérés» auront sans doute fait le festin des renards qui rôdent aux alentours. Pour la troisième fois en 16 mois, ces volières peuplées de perruches et de petits perroquets ont été la cible des «animalistes».
Un mouvement en plein essor qui revendique l'égalité entre espèces humaine et animale. Briser une vitrine n'est pas un acte de violence, plaident ces militants d'un genre nouveau pour qui la vie d'un lapin ou d'un chat vaut autant que celle d'un humain: «Notre façon de traiter les animaux, de les considérer comme des biens, de nier leurs intérêts propres, est aussi illégitime que l'étaient la traite des Noirs, l'esclavage et la colonisation.» Suite...
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