En effet, le ministère de l'Intérieur vient d'annoncer que les leaders de l'opposition, notamment les candidats à la dernière élection présidentielle, ne sont pas autorisés à quitter le pays jusqu'à « la fin de l'enquête » sur les violences à Port-Gentil, capitale économique de l'ouest du pays, sans préciser le temps que cette enquête prendra.
Les violences qui ont secoué Port-Gentil entre le 3 et le 6 septembre ont fait 3 morts, selon les autorités, « au moins 15 » d'après l'opposition.
Au total, plus de 300 personnes ont été arrêtées lors de ces heurts. Suite...
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