Jamais deux sans trois. Au commencement était la Côte d'Ivoire, où le long bras de fer entre Laurent Gbagbo, ancien « opposant historique » arrivé au pouvoir en octobre 2000, et Jacques Chirac, défenseur acharné du parti unique en Afrique accusé de soutenir la rébellion armée déclenchée en septembre 2002, s'est notamment caractérisé par ce que l'on a appelé des « violences antifrançaises ».
Puis il y a eu le Togo, où une bonne partie de la jeunesse urbaine a exprimé dans la rue, en 2005, à la fois son refus de la succession monarchique représentée par l'arrivée au pouvoir de Faure Gnassingbé et sa haine de la France officielle, coupable à ses yeux d'avoir sanctifié au point de vue international le « coup d'Etat électoral » du fils du général Gnassingbé Eyadéma. Suite...
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