En une centaine de jours, l’État français et les autorités extrémistes rwandaises de l’époque accomplirent l’extermination d’une partie de la population rwandaise désignée comme ennemi intérieur.
Le 22 mai 1994, le président du gouvernement intérimaire qui assure l’exécution du génocide, Sindikubwabo, adresse à François Mitterrand une lettre. Suite...
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