A sa sortie, au printemps, le livre a jeté un sacré pavé dans la mare. Sous le pseudonyme de Crésus, un banquier dévoilait les « pratiques mafieuses » de la finance internationale, les dessous du krach de l’automne 2008 ou les petits secrets des paradis fiscaux. Avec 40 000 exemplaires écoulés, ces « Confessions d’un banquier pourri »* ont été un best-seller.
Il est vrai qu’elles se lisent comme un polar avec leurs scènes de chantage, de corruption, leurs délits d’initiés et leurs call-girls de haut vol…Suite...
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