Le lauréat 1989 du prix Nobel de la paix -âgé de 73 ans et à la santé fragile- n'a jamais été aussi loin d'un retour dans son pays natal. Il semble condamné à demeurer le chef spirituel d'un peuple qu'il ne côtoie jamais, représenté par un « gouvernement » sans Etat, réfugié dans la bourgade indienne de Dharamsala.
Certes, il continue d'incarner les espoirs de six millions de Tibétains vivant au pays ou en exil. Et il est la bête noire de Pékin qui le qualifie d'« homme à tête de loup », l'accusant d'être un dangereux séparatiste sous le couvert de la religion. Suite...
Voir aussi:
- Chine : le mauvais karma de Sharon Stone...
- Tibet : cessons la désinformation contre-productive !
- Le Dalaï Lama est ni ange ni dieu…
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