Le sentiment de confiance, dans un contexte de grave crise financière internationale venue des Etats-Unis, recueille les trois quarts des réponses, selon le sondage mené auprès de 602 personnes.
Sans surprise, l'UBS, établissement helvétique le plus touché par le phénomène, réalise le plus mauvais score. La grande banque ne jouit de la confiance, ou de la relative confiance, des sondés qu'à hauteur de 35%. Quelque 40% affichent une confiance moindre et 20% affirment carrément n'avoir plus confiance du tout.
Quant au rôle à jouer par la Confédération en cas d'approfondissement de la crise, les avis apparaissent partagés. Pour 47% des sondés, l'Etat fédéral se devrait alors d'intervenir, tandis que 45% écartent d'emblée la perspective de recourir à l'argent public pour assainir le secteur.
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