Surtout, le Credit Suisse n'a pas dû effectuer de gros amortissements en lien avec la crise du crédit au deuxième semestre. Les dépréciations nettes ont plafonné à un total de 22 millions de francs. L'absence d'importants correctifs de valeurs a ainsi permis à la division de la banque d'affaires Investment Banking, la plus touchée par la crise du subprime aux Etats-Unis, de renouer avec les profits. Après une lourde perte de 3,46 milliards de francs entre janvier et mars, elle a dégagé un bénéfice avant impôts de 281 millions.
Reste que la performance s'inscrit en net repli par rapport au bénéfice avant impôts record de plus de 2,5 milliards de francs affiché un an auparavant par Investment Banking. Le résultat, tout comme celui du groupe, a dépassé les attentes des analystes qui tablaient en moyenne sur une perte de 258 millions pour cette division. Source
Voir aussi: L'économie américaine est au bord du krach?
Et ceci: Raiffeisen: le malheur des grandes banques fait le bonheur...
Et ceci: La vieille dame et la banque…
No comments:
Post a Comment