«La Suisse n'a pas à se coucher face aux exigences d'un tel psychopathe à la tête d'un Etat voyou», déclarait Ahmed Benani à la presse en juillet 2008, lorsque Mouammar Kadhafi exigeait des excuses pour l'arrestation de son fils Hannibal à Genève.
Une année plus tard, les excuses sont tombées et le professeur lausannois d'origine marocaine juge la manière dont s'est amorcée le dénouement de cette crise «fort peu honorable». Interview...
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