Si d'aventure les jeunes footballeurs du pays de l'autocrate Kim Jong-il se qualifiait pour la Coupe du monde 2010, Concordia toucherait le gros lot. «C'est comme au loto. Pour espérer gagner, il faut d'abord jouer», explique Karl Messerli.
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Après un an de négociations, le marché était conclu: Concordia Bâle, actuel 11e de Challenge League, acquérait les droits de transferts et de marketing pour l'Europe de tous les joueurs de l'équipe nationale nord-coréenne. Une grande première dans le monde occidental puisqu'à ce jour, hormis une ou l'autre expérience en Russie, jamais un joueur nord-coréen n'avait eu la possibilité de «sortir». Article complet...
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