Le club de football catalan se propose ainsi comme médiateur dans cette affaire, pour tâcher de faire sortir le lycéen de prison. Rappel des faits : L'incident est arrivé dans la localité marocaine d'Aït Ourir, où le jeune Yassine, 18 ans, a écrit sur le tableau de son école « Dieu, la Patrie, le Barça ». Une transgression du « symbole » national, qui n'a pas été du goût du directeur de l'école. Ce dernier s'est empressé de le dénoncer à la gendarmerie.
Associations de droits de l'homme et société civile dénoncent l'abus et la disproportion du verdict. Le FC Barcelone, indirectement impliqué par le cas, « travaille sur l'affaire depuis quelques jours avec l'idée de réunir toute information possible pour intercéder en faveur de la libération du jeune homme marocain », rapporte El Mundo, suite à une déclaration de Juan Laporta, président du club de football catalan. Suite...
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