Certains voyaient la libération de l'homme d'affaires suisse Rachid Hamdani comme un signe d'ouverture et peut-être le début de la fin de la crise entre Tripoli et Berne. La réponse de n'a pas tardé. Jeudi, le leader libyen a fait remonter la pression encore un peu plus : il a appelé au « jihad », à la guerre sainte, contre la Suisse qu'il a qualifiée de « mécréante » et d'« apostate » (qui renonce à une religion) à la suite de l'interdiction de la construction des minarets votée en novembre dernier.
Visiblement, le leader libyen n'en a pas terminé avec la Suisse. Après l'avoir traitée de mafia au service d'Al Qaeda et après avoir appelé à son démantèlement au profit de l'Italie, de la France et de l'Allemagne, le colonel Kadhafi poursuit donc sa croisade anti-helvétique. Suite...
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