Ce discours contraste avec l'enthousiasme qui avait présidé au premier Forum Chine-Afrique (Focac) à Pékin en 2000, beaucoup de dirigeants africains voyant dans l'émergence de l'aide chinoise une manière de diversifier leurs financements face à des pays occidentaux de moins en moins tolérants sur la corruption et le déficit démocratique.
Principales critiques africaines: le manque de transferts de technologie, la mauvaise qualité des produits chinois et surtout le déséquilibre des échanges, l'essentiels des importations africaines de la Chine étant le pétrole. Suite...
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