(...)
Selon eux, ce sont « les médias [qui] doivent adapter leurs méthodes de travail à la réalité technologique d'aujourd'hui plutôt que de l'ignorer ou de la remettre en cause », « l'architecture ouverte d'Internet (…) ne peut être modifiée au nom de la protection d'intérêts économiques ou politiques spéciaux qui se cachent souvent derrière un prétendu intérêt public. »
Tout en affirmant que « le droit d'auteur est un pilier de l'organisation de l'information sur Internet », ils se félicitent de « la fin de l'inaltérabilité des médias imprimés » et que sur Internet chaque citoyen puisse « organiser ses propres filtres ». Ils appellent enfin, plutôt qu'à la stigmatisation, à l'invention de « formes de refinancement journalistiquement justifiables ». Article complet...
Ne pas manquer:
No comments:
Post a Comment