« Mon nom est Black, James Black ! » Valéry N’Dongo, 29 ans, a une passion : le cinéma. Avec ingéniosité, l’humoriste camerounais fait « l’acteur, pas le comédien ». Sur scène, il pastiche le septième art. En tout premier lieu, la création hexagonale. « Ce qui est bien dans le cinéma français, clame-t-il, c’est l’action. Ça va à 100 à l’heure. »
Et d’en singer un exemple : le vent qui souffle sur un champ de blé. Avant de poursuivre avec le héros américain qui ne meurt jamais, le guerrier chinois qui « se fâche mal mauvais » sans que l’on sache pourquoi, les soaps « hindous, traduits en indien, sous-titrés en pakistanais » dans lesquels les amants se mettent à chanter au lieu de s’embrasser… Quant aux films africains, ce qu’il aime, c’est ce qu’ils représentent : un « cinéma en avenir »! Suite...
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