La critique du rapport du Département d’État sur la traite des humains, publié le 16 juin, devrait être étendue. Le vocabulaire utilisé pour parler des alliés des États-Unis dans leurs efforts pour lutter contre ce problème semble injustifié, surtout lorsque l’on étudie de près les presque 320 pages du rapport et si l’on observe les faibles efforts de ces gouvernements. Aussi, il n’est guère surprenant de constater que Cuba, la Corée du Nord, l’Iran et la Syrie - les premiers adversaires de Washington - languissent en catégorie 3 dans le rapport, c’est-à-dire dans la série des pays où le problème est le plus grave et le moins bien combattu. Suite...
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