L'étude internationale Interphone sur l'usage du téléphone portable, dont les résultats sont attendus depuis longtemps, pourrait confirmer la possibilité d'un léger accroissement du risque de certains cancers chez les utilisateurs depuis plus de dix ans.
A l'occasion d'une audition publique à l'Assemblée nationale, organisée par le député Alain Gest (UMP, Somme), Martine Hours, épidémiologiste et responsable d'Interphone pour la France, a noté les problèmes méthodologiques de l'étude, avec nombre de "biais" envisageables : sélection de l'information, facteurs de confusion, troubles de mémoire... Suite...
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