Comme une trainée de poudre, la frénésie des dépêches ne s’est pas fait attendre. L’emballement médiatique n’a pas tardé dès l’annonce par Le Point du décès du chef de l’Etat gabonais, El Hadj Omar Bongo Ondimba, 73 ans, anciennement Albert-Bernard Bongo avant sa conversion à l’Islam et le rajout plus tard d’Ondimba, nom de son géniteur. C’est l’un des derniers dinosaures de la politique postcoloniale africaine. Hospitalisé pour un cancer depuis de nombreuses semaines à la clinique Quirón de Barcelone en Catalogne, l’homme serait décédé selon des sources proches du Quai d’Orsay annoncent les télégrammes. Un démenti formel vient d’arriver de Libreville au Gabon : « Bongo n’est pas mort ! » selon La ministre gabonaise de la Communication Laure-Olga Gondjout et le premier-ministre, Jean Eyéghé Ndong qui a fait une annonce dans ce sens, en direct à la RTG (Radio télévision gabonaise). Qui croire? Suite...
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