Et maintenant, l’Etat. Après les détentions « forcées » de dirigeants, les blocages d’usines et les grèves dures, les salariés victimes de la crise ont franchi un cap pour manifester leur colère. Ils n’hésitent plus à s’en prendre aux biens de la République. Hier après-midi à Compiègne (Oise), des ouvriers de Continental ont saccagé des bureaux de la sous-préfecture avant de s’attaquer à ceux de leur usine de Clairoix. Suite...
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