À l'époque, Claude Hourdel travaillait encore à la Poste, à Nantes. Pour arrondir ses fins de mois, il bricolait des moteurs de bateaux pour des copains qui, en échange, lui donnaient quelques billets. « C'était ma petite caisse noire. Ma femme n'était pas au courant ».
Claude avait pris l'habitude de cacher ses petites économies dans des pots de confiture, sous sa tondeuse à gazon rangée dans une cabane au fond de son jardin. Suite...
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