600 congressistes de 70 pays sont annoncés pour cette conférence de trois jours sur "La protection de la vie privée dans un monde sans frontières".
Selon Alex Türk, président de la Cnil française, les Américains considèrent les données personnelles "grosso modo comme un bien marchand" alors que pour les Européens ils constituent "un attribut de la personnalité". "C'est le coeur du problème et il faudra un jour se mettre d'accord mondialement sur un standard de protection commun", souhaite-t-il, tout en reconnaissant qu'une convention internationale "n'est pas pour demain". "Les Américains", déclare-t-il à l'AFP, "poussent pour que nous baissions la garde, mais en tant que président du Comité des 27 Cnil, je pense qu'actuellement notre niveau de protection est juste suffisant et qu'il ne faut pas l'abaisser". Suite...
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