Tuesday, February 26, 2008

La «sarkophobie» s'empare de l'Hexagone

«Le principal ennemi de Nicolas Sarkozy, c'est lui-même.» Ce diagnostic avait été posé par Jacques Chirac, alors président, à propos de celui qui était encore son ministre. A cette époque, on avait mis ce jugement sur le compte du dépit ressenti par un chef d'Etat en déclin devant l'irrésistible ascension de son futur successeur, honni qui plus est. Actuellement, ce jugement prend toute sa valeur. Multipliant les écarts de comportement, Nicolas Sarkozy ne parvient pas, neuf mois après son élection, à revêtir ses habits de chef d'Etat. La «sarkophobie» s'étend en France, même auprès des citoyens qui votent à droite. Elle se fonde sur quatre types de conduite, ou d'inconduite, personnelle.  Suite...

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